Publié: 16/05/19 | 16 mai 2019
Seth Kugel est l’ancien chroniqueur des voyageurs économiques pour le New York Times ainsi que l’auteur du nouveau voyage de redécouvrir: un guide pour le Globalement Curieux, dont cela est adapté. Je l’ai compris depuis de nombreuses années ainsi que notre point de vue de voyage qui se dispute beaucoup. J’ai consulté son livre l’année dernière et croyais: «Si je devais composer un livre sur la spécification de l’industrie du voyage, c’est le livre que j’écrirais!» C’est un livre fantastique ainsi qu’aujourd’hui, Seth a extrait la partie du livre pour nous!
Au pochoir en lettres blanches sur un mur morne de ciment à Mezöberény, une ville bien effilochée de douze mille dans la plaine hongroise fantastique nommée hyperboliquement, est apparue le mot:
Szeszfözde
Quelques heures plus tôt, dans les heures préalables couvertes d’une journée de janvier nippy, j’avais trébuché dans le train Bucarest-to-Budapest pour voir ce que ce serait de passer le week-end dans l’opposé d’une destination de voyageur. Mezöberény n’était pas seulement absent des guides – il n’avait pas un seul restaurant, hôtel ou activité noté sur TripAdvisor, ce qui ne peut pas être énoncé pour Mbabara, Ouganda ou Dalanzadgad, en Mongolie. J’avais cependant des informations sur la ville, grâce à son site Web municipal: József Halász local venait récemment de célébrer son neuvième anniversaire.
Ou c’est ce que Google Equate m’a dit. Le Hongrois est une langue ualique, beaucoup plus soigneusement associée à la production que vous pourriez vous endormir sur un clavier qu’à l’anglais ou à l’allemand ou au français. Cela fait de la compréhension même fondamentale un défi, comme je l’ai découvert dès que je me suis précipité du train aux toilettes de la station ainsi que de faire face à l’urgence de sélectionner entre deux portes: Férfi ainsi que Nöi. Les autorités avaient manifestement sauvé quelques forins en ne faisant pas de folie sur les panneaux de figure de bâton.
La journée était née froide ainsi que grise et restait bien cette méthode alors que je marchais avec la ville, obtenant lentement mes repères, fasciné par les maisons pré-guerre et pré-communistes ainsi que le cycliste beaucoup plus que des vélos occasionnels – Il y avait pratiquement beaucoup plus de vélos que les véhicules – qui faisaient un signe de la part de bonjour. Cependant, alors un bruine de saison d’hiver a pris le but, déclenchant une baisse abrupte du nombre de cyclistes, alors même que le nombre de visiteurs américains errant tenait stable à un. Pour moi, une journée de voyage qui devient Rainy est comme un morceau de chocolat que j’ai laissé tomber sur le sol: c’est beaucoup moins attrayant, mais je serai damné si je vais le jeter.
C’est dans les premières minutes de pluie que j’ai rencontré cette indication au pochoir dans une rue autrement résidentielle. Au-delà du mur, en bas d’une allée craquelée, maintenant à balles, se trouvaient beaucoup de barils en plastique alignés comme des tambours de déchets nucléaires. Au-delà d’eux, peut-être à cent pieds de l’endroit où je me tenais, se trouvait un bâtiment en forme de L d’un étage. Quel était cet endroit? Eh bien, Szeszfözde, apparemment. Mais qu’est-ce que c’était?
Autrefois (disons, 2009), j’aurais retiré un livre de phrase ou un dictionnaire de poche anglais, mais j’ai déclenché l’itinérance dans le monde entier sur mon téléphone, j’ai complètement énoncé S-Z-E-S-Z-F-O-I-D-E, ainsi que Taping Go.
La vitesse moins qu’éclairante du fantastique service mobile ordinaire hongrois a offert une pause remarquable. Ainsi, alors est venu ma réponse:
DISTILLERIE.
Vous ne dites pas.
J’aurais deviné une propriété résidentielle ou commerciale personnelle peut-être, ou un danger -, ou à vous occuper de votre propre entreprise, vous insuffez à l’étranger! Cependant une distillerie? Une vague d’adrénaline délâcha mon torse tandis que mes lèvres se recroquevillent dans un sourire stupide.
Deux gars plutôt bourru sont sortis de la porte, le plus âgé fumant une cigarette ainsi que l’utilisation d’un sweat-shirt ainsi que d’un pantalon taché de travail qui suggérait beaucoup plus de Varsovie Pact 1986 que l’Union européenne contemporaine. Je leur ai salué, dirigée vers le canon volumineux 7D suspendu à mon cou, ainsi que vers le bâtiment. Google Translate à l’ancienne.
Ils m’ont fait signe et m’ont fourni une tournée.
À l’intérieur de la distillerie ancienne qui travaille complètement, le gars m’a laissé prendre des photos car ils m’ont fourni une leçon vaguement intelligible à travers des looks expressifs pointés, ainsi que le hongrois traduit par smartphone, sur la façon dont Pálinka – Brandy de fruits hongrois – a été fabriqué.
Il s’est avéré que les barils que j’avais vus à l’extérieur étaient pleins de poire fermente ainsi que de raisin ainsi que de jus de pomme. À l’intérieur, il a été distillé d’une manière ou d’une autre avec une boucle ainsi qu’un système emmêlé de tuyaux qui sortaient de réservoirs en étain ainsi que le long des murs. Il est apparu comme le laboratoire d’un scientifique fou avec un penchant pour le sol en linoléum collant.
Alors qu’ils m’ont conduit, je me suis engagé dans autant d’activités intrinsèques de voyage: essayer de voir le monde du point de vue de quelqu’un absolument différent de moi. Comment était leur vie? Avaient-ils voyagé? Qui étaient leurs parents ainsi que les grands-parents? La barrière linguistique qui ne leur a pas permis de répondre ne m’a pas empêché de gagnerdering.
After soaking in every rusty detail as well as every glint of pride in the men’s exhausted eyes, I typed, “Come go to me in new York” into Google equate — laughs all around — then headed back onto the drizzly streets of Mezöberény, absolutely elated.
What was so fantastic about this moment? Sure, the szeszfözde was a neat bit story for friends, as well as in my case, worth a few paragraphs in the newspaper. however wasn’t it just a grimy company making regional hooch in a town that even many Hungarians would classify as the middle of nowhere?
It was a fantastic moment since I found it. Not an earth-shattering discovery in the sense of a remedy for helps or a previously unknown types of poison-spitting neon frog the size of a pinky nail. however it was 100 percent unexpected, 100 percent real, as well as 100 percent mine.
Discovery utilized to be the lifeblood of travel, at least for those of us who shun tour-bus groups as well as all-inclusive resorts. We utilized to leave house understanding fairly bit about our destination — possibly with some highlighted guidebook pages denoting major attractions as well as regional tipping etiquette, a listing of suggestions culled from well-traveled friends, or articles copied as well as pasted into a Word document. For the ambitious, perhaps a notional feel for the regional history or culture gleaned pre-trip from a historical novel.
Beyond that, we were on our own.
Paper guidebooks frozen in time assisted us along, as did pamphlets as well as paper maps from traveler info booths as well as suggestions from a hotel concierge. earlier this century, Google searches in Web cafés likewise lent a hand. however otherwise, there was no choice: You chose what to finish with your own eyes as well as ears, by wandering, by initiating human-to-human contact. suggestions came from hearing fellow travelers’ stories over hostel or (non-Air) B&B breakfasts, entering a shop to ask directions as well as ending up in a conversation with the owner, or catching a whiff of fresh bread or sizzling chilies as well as complying with your nose.
Of course, all that still occurs today — however only if you truly go out of your method to make it happen. Not only is almost every location in the world documented to within an inch of its life however that documentation — which comes dressed as both truth as well as viewpoint — is overwhelmingly as well as instantly available, thanks to pervasive technology. That’s fantastic for numerous things in life — medical information, how-to videos, shorter commutes. however don’t we travel to break our routine? To experience the unexpected? To let the world pleasure us?
If we do, we have a funny method of showing it. We pore over on the internet evaluations for weeks, plan days down to the half-hour, as well as then let GPS as well as the collected wisdom of the unwise lead us blindly. We imply well — nobody wishes to have a charming dinner go wrong or to get lost as well as miss out on a “must-see attraction” or to danger chaos by failing to keep the youngsters entertained for three minutes.
But isn’t that just a digital version of the old-fashioned group tour? Well, almost, except that on the bus tour, you really get to satisfy the person whose guidance you’re taking.
One of my many ironclad guidelines of travel is this: the number of visitors a location receives is inversely associated to exactly how good locals are to those visitors. Mezöberény, as far as I knew, had got exactly no foreign tourists ever. It was the anti-Paris, as well as this distillery the anti-Louvre.
People who inhabit the still-plentiful tourist-free swaths of the world tend to be not only just nicer however much more curious. They state a bear in the wild is just as frightened of you as you are of it. I state people in locations where outsiders seldom go are just as curious about visitors as visitors are about them. The concern is not why the distillery workers invited me — a camera-toting, gibberish-talking complete stranger — in for a tour, it’s why wouldn’t they? If it were me, I’d be thinking: “What is this strange foreigner doing outside our szeszfözde with a camera? wait till I tell the kids! as well as by the way, isn’t it about time we took a break?”
More importantly, is it possible that stumbling upon a dank distillery may be just as thrilling as a trip of one of the world’s fantastic monuments? Did the surge of emotion I felt when the word distillery popped onto my screen match what I felt when I very first glanced up at the ceiling of the Sistine Chapel?
Probably not, although I keep in mind the distillery moment rather exactly as well as barely recall what I felt at the Sistine Chapel. Pourquoi? since although Michelangelo’s prophets as well as sibyls as well as biblical re-creations are a number of trillion times lovelier than rusty pipes in a concrete building reeking of fermented fruit, I had seen them before in photos, heard professors taLK à leur sujet, ainsi que vérifié les comptes d’autres voyageurs alors que je cherchais les meilleurs moments pour empêcher la foule.
C’est pourquoi je crois qu’il est temps de redécouvrir les voyages et de reconnaître la valeur de ce qu’un monde trop a enlevé: le plaisir de faire des choses se produire par vous-même.
***
Seth est l’ancien chroniqueur des voyageurs économiques pour le New York Times ainsi que l’auteur du nouveau voyage de redécouvrir: un guide pour le monde curieux, dont cela est adapté. Dans ce livre, Kugel diffuse le marché des voyages contemporains avec une décision de raviver le sens de l’expérience séculaire de l’humanité qui a été pratiquement vaincu dans cette ère numérique qui a obtenu la spontanéité. Vous pouvez acheter le livre sur Amazon et lui fournir une lecture.
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